La veuve de lord Hastings se réfugie dans une solitude absolue en attendant la naissance de son fils, éloigne les visages humains qui lui semblent insincères et grimaçants, et ne trouve de consolation et de repos que dans la contemplation prolongée des nobles animaux qui peuplent ses écuries. […] Et ce sont bien aussi les plus hautes aspirations de la nature humaine qu’il évoque, ce Centaure prodigieux dont la moitié du corps est animale et dont le buste est divin.