« Combien de fois, dit le poète, n’avait-il pas, dans les ferrades (jour de l’année où l’on marque les animaux sauvages dans la Camargue), combien de fois n’avait-il pas renversé à terre ses taureaux par leurs cornes ? […] Le toucheur de bœufs triomphe, mais, jeté en l’air par les cornes de l’animal, il reste marqué d’une cicatrice au front. […] Les animaux de la rivière et les pendulines des oseraies n’avaient pas plus peur d’elle que des joncs tremblants.