Harington l’avait auparavant défini un animal religieux. […] L’instinct des animaux est un ; les facultés de l’homme sont différentes, variées, inégales. […] L’erreur des philosophes vient de l’analogie qu’ils ont cru pouvoir établir entre l’homme et les animaux ; ils ont pensé que l’homme était un animal plus parfait. […] L’homme n’est point un animal plus parfait que les autres, et plus perfectible ; c’est l’homme. […] La terre lui est marâtre ; et les animaux refusent de lui obéir.