Les quarante tableaux de l’avenue Montaigne contiennent des paysages, des portraits, des animaux, de grandes scènes domestiques et une œuvre que l’artiste intitule : Allégorie réelle. […] Quand Cuvier reformait par analogie ses monstres antédiluviens à l’aide d’un seul os, ce n’était certainement pas tant cet os qui l’occupait directement que tout le reste de l’animal à qui il avait appartenu.