Avant sa maladie, elle avait eu l’habitude de parler français au lieu de parler anglais. Mais alors elle sembla avoir perdu toute connaissance du français ; car, lorsque son mari lui parlait dans cette langue, elle ne paraissait pas comprendre le moins du monde ce qu’il disait, quoiqu’elle pût converser en anglais sans difficulté ». […] Nulle part l’idée du grand naturaliste anglais ne s’applique plus exactement qu’en psychologie.