Le goût n’est plus aux cascades, aux statues, aux décorations raides et pompeuses ; on n’aime que les jardins anglais. […] Ils sont toujours les fils de ceux qui, à Fontenoy, au lieu de tirer les premiers, mettaient le chapeau à la main, et, courtoisement, disaient aux Anglais : « Non, Messieurs, tirez vous-mêmes ». […] Récit d’un seigneur anglais.