Loyson, spiritualiste et même expressément chrétien, est tout voisin de cette muse prochaine des Méditations ; il l’est par l’élévation de la pensée, par le sentiment ; mais l’imagination n’est pas à la hauteur, et trop nourri de l’ancien goût, trop plein des formes classiques un peu usées, il n’atteint pas à l’expression puissante. […] Ceci laisse assez clairement entrevoir que, bien que Loyson fût mort à Paris, il n’avait pas été donné à ses anciens amis de l’Ecole normale de l’approcher dans sa maladie dernière et il ses instants suprêmes » .