« Et les hommes se regarderont à cette lumière, et ils diront : « Nous ne connaissions ni nous ni les autres, nous ne savions pas ce que c’est que l’homme : à présent nous le savons. » « Et chacun s’aimera dans son frère, et se tiendra heureux de le servir ; et il n’y aura ni petits ni grands, à cause de l’amour qui égale tout, et toutes les familles ne seront qu’une famille, et toutes les nations qu’une nation. […] vous êtes le protecteur de l’innocent et de l’opprimé, car c’est votre amour qui a créé le monde, et c’est votre justice qui le gouverne. […] À la suite de ces chapitres sombres, il en vient un qui les corrige, tout enchanteur de mansuétude et d’amour des hommes ; on croirait lire des pages retrouvées de l’Imitation. […] « Quand on leur disait : « Au nom de tout ce qui est sacré, pensez à l’injustice, à l’atrocité de ce qu’on vous ordonne, » ils répondaient : « Nous ne pensons point, nous obéissons. » « Et quand on leur disait : « N’y a-t-il plus en vous aucun amour pour vos pères, vos mères, vos frères et vos sœurs ?