Cela, c’est affirmer tout au moins que l’homme est fait pour le mariage et pour l’amour. […] Rod, le dilettantisme ne l’a pas empêché de se marier par amour, et il lui a sans doute servi à jouir plus délicatement de cette bonne fortune. Et, si le dilettantisme a d’abord retardé en lui l’éclosion de l’amour paternel, ce n’a été que pour le faire ensuite plus réfléchi, plus fort et plus tendre. […] Je crois que la morale est tantôt l’amour et tantôt l’acceptation des liens parfois délicieux et parfois gênants qui nous enchaînent, soit par le cœur, soit par un intérêt supérieur où le nôtre se confond, à d’autres que nous et aux groupes de plus en plus larges dont nous faisons partie.