Voyez encore la manière dont Voltaire, dans Sémiramis, a lié à son sujet l’amour d’Arsace et d’Azéma ; et dans Mahomet, celui de Palmire et de Séide. […] Dis-lui que de mon fils l’amour est assez fort… Mais crois-tu qu’en son âme il ait juré sa mort ? L’amour peut-il si loin pousser sa barbarie ? […] Qui peut être contre l’amour, Quand il s’accorde avec la gloire ? […] Acomat ne dit là que ce qu’il pense dans l’occasion présente ; et l’auditeur y découvre en même temps le caractère général de l’amour.