Quelles amours ! […] C’est bien l’amour, l’amour des sens, ne vous déplaise, la « Vénus à sa proie attachée ». […] Je lis ailleurs que « l’amour de M. de Maurescamp ne contenait aucun élément impérissable : c’était, pour employer une expression de ce temps, « un amour naturaliste ». […] Mais je voudrais bien savoir si les trois quarts des amours que nous conte M. Feuillet ne sont pas des amours « naturalistes » !