C’était de la poésie, mais point d’amour, comme on a voulu plus tard interpréter en passion mon attachement pour elle. […] Elle aspirait à un époux digne d’elle surtout, parce que l’amour est un dévouement. […] Elle ne voulait qu’un cœur ; elle savait se proportionner aux plus humbles conditions de la vie commune, pourvu que l’amour, cette poésie du cœur, ne manquât pas à sa destinée. […] Rome, qui me connaît, a peur de son amour… J’ai hâte de le voir… Oh ! […] Mais la sainte colère de l’amour est-elle une vengeance ou une vertu dans un cœur d’épouse ?