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422. (1887) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Troisième série pp. 1-326

— Écoutez : il n’y a pas tant de vanité à « tirer de l’amour d’une maîtresse. […] — Vous ne songez pas que l’honneur gâte tout cet amour dès qu’il y entre. […] Le seul auteur de l’Astrée avait essayé de discerner des nuances dans l’amour ; pour tous les autres, l’amour était une passion que son nom seul définissait assez. […] Est-ce l’histoire des amours de Jacob avec Mlle Geneviève ? […] et vous n’en trouverez pas un qui manque à l’amour de des Grieux.

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