Il est une part sacrée de toute réjouissance, de toute allégresse, de la danse et de l’aimable amour. […] toi qui prolongeas la puissante vieillesse de Goethe, et qui rendis souvent une force surhumaine à la verve épuisée des plus grands artistes, pardonne si j’ai parlé des dangers de ton amour ! […] Le jour Chantant l’amour, Et souvent le faisant sans bruit La nuit… ; le Panpan bachique (1809) : Lorsque le champagne Fait en s’échappant Pan, pan… ; ce sont ces autres refrains irrésistibles et qui éveillent de toutes parts l’écho, le Carillon bachique (1808), surtout le Délire bachique (1810) : Quand on est mort, c’est pour longtemps… admirable chant, tout bouillant d’une douce fureur, et où brille dans tout son éclat le génie rabelaisien. […] Aux confins du même genre, proche barrière, et tirant sur le poissard ou le grivois, les amateurs distinguent et goûtent fort les amours de Pierre et Pierrette.