Proposez-vous d’avoir le lion pour ami, Si vous voulez le laisser croître. […] Il y en a deux autres, dans le cours de cet Apologue, que j’ai vu citer et appliquer à un très-méchant homme, qui était destiné à avoir de grands moyens de servir et de nuire, et qui avait au moins le mérite d’être attaché à ses amis. Voici ces deux vers : Ce sera le meilleur lion, Pour ses amis, qui soit sur terre.