Ce puissant excitateur de hautes pensées politiques va devenir une de nos connaissances particulières, et, peu s’en faut, l’un de nos amis. […] À l’ami et au confident de Louis XVIII, au marquis d’Avaray, M. de Maistre écrit (juillet 1807) : « Bonaparte fait écrire dans ses papiers qu’il est l’envoyé de Dieu. […] Allez donc, mon cher ami, et revenez ou emmenez-moi avec vous. […] Quand vous avez la bonté de dire avec le digne ami : Quels souvenirs ! […] Elle était ardente amie, quoique froide sur tout le reste.