Politien, son ami, célébra ce retour par un salut poétique. […] Politien, son ami et le précepteur de ses fils, composa alors le poëme d’Orphée. […] Son maître et son ami, Laurent de Médicis, le voyant en disgrâce auprès de sa femme Clarisse, l’envoya résider à Pistoja, auprès de ses enfants ; puis à Caffagiolo, maison des champs de Côme, son père. […] Leurs amis les plus dévoués, tels que Poggio, partageaient leur goût. […] « Croyez-moi, mon ami, vous ne pouvez pas me faire de plus grand plaisir que de revenir chargé de pareils ouvrages, qui comblent délicieusement tous mes souhaits.