D’Alembert lui-même, si intéressé à bien voir, ne connut le mystère que par la lecture de certains papiers, après la mort de son amie. […] Il dit qu’il part le mardi 18 mai, puis le mercredi, et il se trouve qu’il n’est parti que le jeudi 20, et sa nouvelle amie n’en avait rien su. […] Mon ami, je suis parfaite, car je vous aime en perfection. […] Mon ami, je souffre, je vous aime, et je vous attends. […] c’était l’horreur qu’elle avait de sa propre dissimulation avec un tel ami.