Il a écrit, en parlant de l’air que chante Obin, au deuxième acte : « C’est comme, une autre musique. » L’air a un beau caractère sans doute ; mais il est, au contraire, dans la manière de Verdi, et taillé sur le patron de la cavatine exécutée par Graziani au deuxième acte du Trovatore. […] Fiorentino ajoute d’un petit air innocent : « La barcarolle du deuxième acte rappelle une chanson napolitaine d’une couleur ravissante : Bella figliola che tieni stil fiori ! […] La phrase dit également deux choses : que l’air en question rappelle, comme couleur seulement, une cantilène de Lazzaroni ou qu’il la reproduit à l’aide d’un plagiat effronté. […] L’air de l’Allemagne lui a fait grand bien. […] si, guidé par le sens commun et remontant à l’analogie de l’image, il eût supprimé dans le dernier mot une lettre, une seule qui, au premier aspect, a tout à fait l’air d’être une coquille ?