Les livres par fragments, ce qu’on appelle les miscellanées, n’ont jamais l’air de livres. […] Il affectait les airs de l’aristocratie parce qu’il y avait la grâce d’un danger à cela, tentation française à laquelle on succombe toujours !
Les livres par fragments, ce qu’on appelle les miscellanées, n’ont jamais l’air de livres. […] Il affectait les airs de l’aristocratie parce qu’il y avait la grâce d’un danger à cela, tentation française à laquelle on succombe toujours !