Le salpêtre révolutionnaire était dans l’air ; la France de Juillet avait donné le signal et fait explosion. […] éternelles variations sur des airs connus ! […] Là, comme un prisonnier qui ne doit plus sortir, Il fut pris dans son cœur d’un amer repentir ; L’éternelle patrie, à ses yeux pleins de larmes, Apparaissait alors belle de tous ses charmes ; Son ami le cherchait, en pleurant, dans les airs, Et sa place était vide aux célestes concerts !