L’esprit, ce génie trop familier des salons, y corrompt le véritable génie, qui vit de grand air. Cet air des salons donne à la poésie des finesses au lieu de grandeur. […] L’air y est cordial, c’est le cœur seul qui y règle l’étiquette. […] Et que cette chaleur sans air est accablante ! […] Elle était allée respirer l’air des bois à Saint-Germain.