La vie intérieure, isolée de l’en dehors, se flétrit, comme la plante privée de lumière et d’air ; de même que la vie extérieure, sans son nécessaire aliment interne, n’a pas plus de fécondité que la tige dont la sève n’alimenterait plus les vaisseaux. […] Les rapports commerciaux et industriels notamment, sont, de nos jours, aussi indispensables à la vie quotidienne que l’air respirable ; « bloquer » l’une des nations du monde moderne, ce serait amener sa perte à brève échéance.