Fritz avait avec chacun d’eux un grand air de ressemblance, c’est-à-dire les yeux bleus, le nez épaté, le menton rond frappé d’une fossette, la bouche bien fendue et l’air content de vivre. […] Tous les amis la regardaient d’un air d’admiration, et Kobus parut comme surpris de la voir. […] Et le vieux rebbe se redressa content, la regardant d’un air tendre tremper ses lèvres roses dans la tasse. […] s’écria le vieux rebbe, en nasillant d’un air ironique ; tu te marieras ! […] » Il haussa les épaules, joignit les mains d’un air de pitié et s’en alla.