/ 3257
483. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « M. Théodore de Banville »

Elle est cette gaieté italienne qui est simplement parce qu’elle est, et dont madame de Staël a si bien parlé, elle qui ne l’avait point et qui l’aimait comme on aime ce que l’on n’a pas ! […] mais j’aime mieux l’y voir rire que de l’y voir gambader. […] La haine… « Je l’aime, — disait Byron d’un homme. — Je l’aime. […] » Les Idylles prussiennes attestent une haine que Byron eût aimée, car elle a une profondeur qui suffit, sans qu’il soit besoin d’autre chose, pour faire des vers sublimes.

/ 3257