Il fait aimer ce maître qui s’en confesse avec cette émouvante ingénuité. Il fait aimer aussi cet art tout mêlé de science, dont la mâle et généreuse discipline façonne et maintient de tels hommes. […] Leur Empereur aimait à s’appeler le suprême seigneur de la guerre. […] Il ne l’aime plus. […] Nous pouvons dire, comme un délicieux poète anglais : « La Sirène aime la mer, et moi j’aime le passé. » Mais ce passé-là, rien ne saurait le ranimer.