Ces machines nerveuses — comme Napoléon disait des Français — aiment les orateurs comme elles aiment le son des trompettes, et, comme des machines et surtout quand elles sont nerveuses, elles aiment les orateurs indépendamment des idées qui tombent de leurs lèvres ou qui s’y allument. […] Ils ressemblent aux flûtes, maintenant brisées, dont on dit qu’ils aimaient à accompagner leurs discours, et le silence pèse sur tous ces débris d’un poids égal.