Vous savez comme moi, mieux que moi, de quels contemporains il s’agit. […] Il s’agit de deux publics, essentiellement différents, et aussi de deux genres de littérature, également estimables, mais qui resteront toujours étrangères l’une à l’autre. […] À moins donc qu’il ne s’agisse du théâtre où Dieu est le protagoniste central, lequel se reconnaît à ceci, que par le cœur au moins les spectateurs y sont acteurs à la fois, où tous, auteur, acteurs, spectateurs agissent en communion, l’homme de goût préférera, absolument, la lecture.