L’homme naturel, l’homme robuste, en pleine possession de la vie, et censé le mieux portant aux yeux du naturaliste, lui paraît, comme à saint Augustin, le grand malade qu’il s’agit de convaincre qu’il est malade et de guérir. […] L’éditeur a cru devoir en agir autrement, et il y a bien de l’inégalité d’intérêt dans les branches publiées jusqu’ici.