Elle parle assez favorablement de Rivarol ; ce n’est pas qu’elle ne sache ce qu’on y peut reprendre : « Mais, vu la misère des temps, je le trouve bon ; il y a une sorte d’originalité dans le style et des aperçus qui ne sont que trop justes, mais il faut s’en distraire. » Il s’agissait de quelque écrit de Rivarol, qui touchait aux affaires du temps. […] J’ai toujours pensé qu’un homme de génie arrivant aux affaires eût tiré le plus magnifique parti de tous les éléments qui fermentaient alors. […] Son fils mourut deux ans avant elle, lui laissant des ennuis derniers et des embarras d’affaires, et prolongeant ses torts envers elle jusqu’au-delà de la mort.