L’homme est ainsi fait qu’il tire vanité de ses admirations : il se pique d’admirer pour des raisons qui lui appartiennent, et il s’admire alors lui même d’admirer avec tant d’originalité.
L’homme est ainsi fait qu’il tire vanité de ses admirations : il se pique d’admirer pour des raisons qui lui appartiennent, et il s’admire alors lui même d’admirer avec tant d’originalité.