Un événement est attesté trois fois, par trois chroniqueurs ; mais ces trois attestations, dont on admire la concordance, n’en font qu’une, s’il est constaté que deux des trois chroniqueurs ont copié le troisième, ou que les récits parallèles des trois chroniques ont été puisés à la même source. […] Les écoles secondaires organisées depuis le xvie siècle, ecclésiastiques ou laïques, catholiques ou protestantes, ne firent pas entrer l’histoire dans leur plan d’études ou ne l’y admirent que comme annexe de l’étude des langues anciennes.