* Il partit le 11 novembre 1842, par la diligence de Lyon, descendit le Rhône en bateau, à Beaucaire monta en chemin de fer pour la première fois de sa vie, visita Montpellier et Nîmes, prit à Marseille le bateau pour Naples, admira dans la salle à manger une sorte de géant malpropre et bourru, doué d’un énorme appétit ; c’était Gustave Planche, qui venait de faire un petit héritage, et disparaissait en Italie jusqu’à ce que, le dernier sol dépensé, la faim le ramenât en Buloz. […] Elle l’aime parce qu’elle l’admire. […] Il admire sa force d’abnégation et de travail.