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11. (1890) L’avenir de la science « XV » pp. 296-320

Admiration toute conventionnelle, qu’on excite en soi pour se conformer à l’usage, et parce qu’on se tiendrait pour un barbare si on n’admirait pas ce que les connaisseurs admirent. […] On admire de confiance et pour ne pas rester en arrière. […] Le savant seul a le droit d’admirer. […] Qu’admire-t-on d’ordinaire dans ces vieux poèmes ? […] Il admire (Génie du Christianisme, liv. 

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