L’Europe n’imita plus directement Molière, elle l’admira davantage. […] C’est la perfection même ; non cette perfection froide et compassée qu’on admire souvent à la Comédie-Française sans être touché. […] Il l’a jetée tout d’une haleine avec une rapidité et un nerf de débit, qu’on ne saurait trop admirer. […] Ils admirent de loin Molière et La Fontaine ; ils se gardent de marcher sur leurs traces. […] On admire dans ses autres pièces le bon sens, le naturel, la force comique : ici, c’est le goût et la délicatesse qui brillent.