. — En effet, supposez un point, c’est-à-dire la limite d’une ligne, et admettez qu’il se meuve ; la série continue des positions qu’il occupe fait une ligne. Admettez que cette ligne se meuve ; la série continue des positions qu’elle occupe fait une surface. Admettez que cette surface se meuve ; la série continue des positions qu’elle occupe fait un corps solide, au moins au point de vue géométrique. […] De même, nous admettons des liquides parfaits ou absolument fluides, tels qu’aucune de leurs parties n’ait la moindre adhérence avec sa voisine, et que toutes puissent se mouvoir avec une liberté entière les unes sur les autres.