Il doit croire à ce qui abuse encore aujourd’hui, à cette heure, tant de bons esprits : aux cahiers des notables, cette barre de papier par-dessus laquelle la pouliche vicieuse et méchante de la Révolution a sauté ; aux actes impuissants de la Constituante ; enfin, à ces fameux principes de 89, qui n’étaient pas des principes, et que, par conséquent, on n’a pu violer, puisqu’ils n’étaient pas des principes !