Qui donc a dit : « Nous sommes libres du premier acte, nous sommes esclaves du second ? […] Il obéit, dans ses actes, à la volonté paternelle. […] La rigueur de sa probité s’étendait, au-delà des affaires d’argent, à tous les actes de son existence. […] C’est le premier degré du travail utile, cette intelligence ; le second, c’est la volonté de conformer son acte à cette vérité, c’est la décision suivant la réflexion, et le voilà cet accord des deux vertus dont vous nous donnez le modèle chaque jour. […] On y amène les personnes qui, dans la rue ou dans leur maison, viennent de commettre quelque acte, le plus souvent dangereux, qui les fait soupçonner de dérangement mental.