L’académie examina ses stances pour le roi allant en Limosin : il n’y en eut qu’une qu’elle admira toute entiére. […] Le Parnasse, les fanatiques, Astrée, l’homme, le poëme des apôtres, et celui du plaisir sont déja connus par le jugement qu’en a porté l’académie des jeux floraux ; et l’ode de la gloire et du bonheur du roi dans les princes ses enfans, et celle de la sagesse du roi supérieure à tous les événemens, ont aussi pour elles le jugement de l’académie françoise.