Ses talens pour l’éloquence, reconnus dans l’Eloge funebre de M. le Dauphin, ses Mandemens qu’il fait lui-même, ses Lettres Pastorales qui respirent le patriotisme, & quelques autres Ouvrages où il n’a pas mis son nom, prouvent que l’Académie Françoise a moins recherché dans lui l’éclat de la naissance, que les qualités d’un Littérateur éclairé.