À Monsieur Émile Faguet de l’Académie française Professeur à la Faculté des lettres de l’Université de Paris Mon cher maître, Un écrivain attaché à l’histoire et à la critique des sentiments et des idées dans l’époque moderne, contracte envers vous l’obligation la plus étendue. […] Il touchait à la quarantaine quand le fameux problème proposé aux littérateurs par l’Académie de Dijon : « Si le progrès des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs », vint offrir à l’accumulation de gémissements contre la vie, contre l’œuvre humaine, qui lui gonflait le sein, une magnifique issue.