On traite l’illustre romancier comme certaines académies italiennes ont traité l’auteur de la Divine Comédie : il y a bien une comédie dans tout cela, mais elle n’est pas divine, et Balzac semble avoir songé à ses adorateurs lorsqu’il a modestement intitulé son œuvre : la Comédie humaine. […] Oublions même de constater que le second cahier de ce cours familier de littérature, écrit par un des quarante de l’Académie, finit par cette phrase où je suis forcé, si je veux absolument la comprendre de voir une faute de français : « Il y a des cœurs en France : j’en voudrais avoir mille pour l’aimer comme elle mérite d’être aimée par ceux qu’elle aime !