Au reste il n’y a rien là d’absolu. […] La fatalité (toujours par rapport à la finalité) n’y est pas absolue comme dans l’instinct. […] La nécessité relative du temps qui s’impose à nous ne doit pas nous faire conclure à sa nécessité absolue. […] Cependant ceci n’est nullement une règle absolue et le sort de la déviation dépend de conditions assez complexes. […] Tout n’y est pas entièrement systématisé et soumis à tous égards, à des lois absolues de finalité.