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290. (1884) L’art de la mise en scène. Essai d’esthétique théâtrale

Mais il s’agit ici de l’effet représentatif absolu, et à ce titre elle mérite de nous arrêter. […] Il n’y a donc rien d’absolu dans les difficultés que le temps ou la distance offre à la mise en scène. […] Il y a dans cette chute du rideau, dans cette disparition absolue du spectacle, un signe manifeste de l’interruption de l’action dramatique. […] Chacune d’elles est un nouveau monde, complexe et complet en soi, qui obéit à ses lois propres et relatives, dérivées des lois générales et absolues. […] Ce qu’elle cherche, c’est donc une vérité plutôt relative qu’absolue.

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