En voici un second : c’est qu’il y a des degrés entre Campistron et Voltaire ; c’est qu’il y en a d’autres entre Zaïre et Bajazet ; c’est qu’il y en a partout, et qu’il n’est personne qui n’en tombe d’accord. […] Mais ne faut-il pas enfin que nous retrouvions dans Cléopâtre, et dans Tartufe, et dans Candide, quelque chose aussi de ce que La Calprenède, et Molière, et Voltaire y ont mis ? […] et les Discours sur l’homme, de Voltaire, était-ce de la « poésie » ? […] Ce serait faire tort aux Voltaire, aux Chateaubriand, aux Victor Hugo de ce qu’il y a de puissance dans leur fécondité même. […] Nous, cependant, en France, nous l’aimons mieux « laïque », étant pour la plupart, comme on l’a dit si souvent, de la religion de Voltaire et de Béranger.