A cette époque, l’évêque de Meaux n’avait, d’ailleurs, plus de raisons d’en vouloir à Fénelon, Quand Télémaque parut, les Maximes des saints étaient déjà condamnées à Rome.
A cette époque, l’évêque de Meaux n’avait, d’ailleurs, plus de raisons d’en vouloir à Fénelon, Quand Télémaque parut, les Maximes des saints étaient déjà condamnées à Rome.