Dites-moi, ajoute ce célébre écrivain, si Racine a persiflé Boileau ? […] Avez-vous jamais dit que Ciceron écrivoit au parfait ; que la coupe des tragédies de Racine étoit heureuse ? […] L’Abbé d’Olivet dont je vous ai déjà cité la prosodie, a laissé d’excellentes Remarques sur Racine, petit vol. […] L’Abbé Desfontaines opposa à cette critique une brochure intitulée : Racine vengé, ou examen des Remarques grammaticales de M. l’Abbé d’Olivet sur les œuvres de Racine. […] C’est ce qu’on croira difficilement, même après avoir lu le Racine vengé.