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458. (1864) Corneille, Shakespeare et Goethe : étude sur l’influence anglo-germanique en France au XIXe siècle pp. -311

. — L’idéal social et l’idéal humain, ou Corneille et Racine, comparés avec Shakespeare, Dante, Byron etc. — Exposition. […] Quant à Racine on reconnaît volontiers qu’il fut plus capable de sentiment et d’émotion que son émule. […] Aussi le pauvre Racine n’eut-il qu’une fois peut-être un élan vers la vraie nature. […] Ce qui, avant tout, fait le charme de Racine, c’est l’harmonie du vers, la plénitude, la grâce et la pureté du style. […] Mais que de difficultés n’avait-il pas dû vaincre pour arriver à transporter ce drame inouï sur la scène de Racine et de Voltaire ?

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