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93. (1887) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Troisième série pp. 1-326

Il nous rappelle ensuite qu’à titre d’élève ou d’auditeur de Gassendi, Molière appartenait à la philosophie sensualiste de son temps, et, avec Molière, ne disant mot non plus de La Fontaine, c’est sans doute qu’il a quelque raison du même genre ; et, tous les deux, il les écarte. […] Mais que fait-il donc de ces fameux dénouements de Molière, presque tous ou pour la plupart si parfaitement extérieurs au sujet ? […] Turcaret n’est pas, comme on le dit, la dernière des grandes comédies de l’école de Molière. […] C’est le procédé constant de Molière. […] Molière et Boileau disparus, les beaux esprits ont recouvre l’empire dont le bon sens et le génie les avaient un temps dépossédés.

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