Dans son mémoire sur les Élections au scrutin, et pour en égayer apparemment l’aridité, il trouve moyen de remarquer qu’en 1672, époque si brillante du grand règne, l’Académie ne comptait parmi ses membres ni Boileau, ni La Fontaine, ni Racine, qui avait fait Andromaque et Britannicus, ni enfin Molière, qui n’en fut jamais.